mardi 26 octobre 2010

Les désarrois de Ned Allen :

Je suis entrain de finir « Les désarrois de Ned Allen » de Douglas Kennedy. Toujours aussi passionnant cet auteur. Il sait allier le suspense et décrire en même temps une époque, les sentiments, ses personnages sont souvent des gagnants, des golden-boys qui finissent toujours par sombrer, cassés par le système, la violence d’un système qui peut broyer des vies. En général ses romans finissent bien. J’ai lu beaucoup de livres de cet auteur et à chaque fois je suis prise dans l’histoire très vite, le livre est toujours ouvert près de moi, et dès que j’ai un moment je lis ou je me cale dans les coussins du canapé et il peut tout arriver, je lis !!
Ned Allen est un vendeur né, tout lui réussi, il travaille pour un journal d’informatique, il est chargé de trouver des clients pour les pages pub, jusqu’au moment où sa boite est rachetée par des allemands, tout le personnel est viré et la descente aux enfers commence. Tout le bel édifice se lézarde, il perd son boulot, criblé de dettes, sa femme le quitte lassée de voir qu’il ne lui fait pas confiance durant ce passage difficile, il se retrouve embarqué dans une sombre histoire, l’auteur nous tient en haleine jusqu’à la fin. Son histoire pourrait être celle d’un cadre d’aujourd’hui dans la vraie vie, mais pour détenir la vérité de cette vraie vie ne faut-il pas passer par des galères ?
Si vous n’avez jamais lu les romans de cet auteur c’est dommage, il n’est pas trop tard pour commencer, vous avez le choix et je suis certaine que vous serez accrocs très vite.

J’ai acheté « Attirances » de Didier Van Cauwelaert, trois nouvelles qui ont un fil commun.
J’apprécie cet auteur, je ne sais pas encore si je vais aimer. J’ai aussi un récit de Chow Ching Lie « Dans la main de Bouddha » et un livre de Françoise Bourdin « Nom de jeune fille », un roman sur l’infidélité, le divorce et la deuxième chance d’une femme qui avait tout abandonné pour un statut d’épouse au foyer, femme de notable, il vient juste d’être édité en livre de poche.
Je ne vais pas être en état de manque, je n’ai pas encore trouvé le livre « La traversée du continent » de Michel Tremblay, il faut que j’aille à la Fnac à Vannes. Pour le moment, nous économisons le carburant, la Bretagne est particulièrement touchée par la pénurie.

J’ai trouvé sur internet ce texte, c’est incroyable mais c’est vrai, nous arrivons à le lire sans aucune difficulté, n’oubliez pas de cliquer sur l’image.
La lecture, tout dépend à quelle vitesse vous lisez, on peut lire très vite et alors on ne repère pas les fautes d’orthographe ou les fautes de frappe, on peut lire doucement et on perd le fil. Personnellement, je lis très vite, je tape aussi très vite, il m’arrive de me rendre compte que j’ai fait une faute après avoir relu le texte dix fois et quelquefois de ne pas m’en rendre compte du tout !
Tout dépend aussi de la nature du texte, j’ai lu par exemple « Le goût des pépins de pomme » lentement, trois pages et j’arrêtais pour savourer, je pouvais même lire un autre bouquin en même temps, cela ne me dérangeait pas.
J’ai envie de vous poser une question, combien de livres lisez-vous dans l’année ? Ou combien d’heures est ce que vous consacrez à la lecture ? Si vous ne lisez pas, ou si vous ne lisez plus, un dictateur pourrait donc brûler tous les livres sans que cela vous dérange, j’avais oublié, il y a internet, internet incontrôlable et incontournable, même les dirigeants chinois n’arrivent pas à vraiment contrôler le net.
Pour moi, rien ne remplacera jamais le plaisir de la lecture, se plonger dans une histoire et émerger quelques heures après, éblouie par le talent de l’auteur, émue jusqu’aux larmes par un récit ou rire aux éclats seule. Un jour, j’avais amené un livre très marrant chez le coiffeur, j’étais sous le casque et je riais seule à la grande surprise des autres clientes. J’ai du passer pour une hurluberlue, mais je m’en fiche !


Les dahlias du jardin résistent à la poussée de l’automne, ils n’ont jamais été aussi beaux. Je peux encore faire des bouquets, je pense qu’au printemps prochain, nous allons planter que des bulbes de cette fleur, pas d’entretien et ils fleurissent longtemps. Nous abandonnons le jardin potager, il faut être là, arroser, et le résultat n’est pas toujours au rendez-vous, sauf mes plants de courgettes, ça pousse et j’aime les courgettes, je vais peut-être avoir quelques regrets, les pommes de terre nouvelles ramassées toutes petites, sautées avec la peau, quel régal, les salades cueillies juste avant de les manger, si les limaces ou les escargots ne se sont pas régalés avant nous, les haricots verts qui n’ont rien à voir avec ceux de la grande surface, mais il faut les ramasser, ouille ! Le dos. Les tomates pleines de promesse et qui d’un seul coup sont contaminées par le mildiou, déception.
Bon,  nous verrons une fois que l’hiver sera passé, nous changerons peut être d’avis. Normal que le bio soit plus cher, si nous n’employons aucun produit chimique il y a de la perte. J’avais trouvé un moyen de préserver les salades, un cercle de maïzena autour de chaque salade, les limaces se goinfrent de maïzena et oublient les salades, ça marche, essayez.





J’ai regardé des photos du défilé de J.C de Castelbajac et j’ai repéré ces chaussures inspirées de Bambi. Qui les portera ? Lady gaga ?  J’ai toujours beaucoup aimé les chaussures, toujours les mêmes, des mocassins !







Les anglais vont devoir se serrer la ceinture, enfin un peu de solidarité avec le reste de l’Europe.










Encore le sujet de la retraite chez les jeunes.







                                                         
   
  Le Sénat.

Bye MClaire