
Bavarde-moi ? Vous voulez qu’on en parle.
Avant tout je tiens à remercier Thierry Chincholle pour le petit coup de pub en faveur de mes blogs dans scrabblerama, dans la rubrique « Blogues ». Je suis contente que Thierry apprécie ces blogs. Thierry a aussi son fan club parmi les joueurs. Ecrire le prénom Thierry me fait aussi plaisir, c’est ainsi que s’appelle mon fils aîné. Comment choisit-on un prénom pour son enfant ? Nous avions choisi ce prénom, parce que j’aimais beaucoup un petit voisin, facétieux, turbulent, mais craquant, il s’appelait Thierry. Auriez-vous l’idée d’appeler votre enfant Brice maintenant ? Moi non.
Puisqu’il était question de philosophes sur scrabfr, une citation d’un lexicographe et philosophe, Lorédan Larchey, elle m’a fait rire :
Le duc de Richelieu, neveu du cardinal « Bien qu’octogénaire, il eut la témérité de se remarier. Une princesse lui demandait en riant, le lendemain, comment il avait pu se tirer d’un pas si difficile. Elle dut se contenter de cette réponse : « Le plus difficile n’est pas d’en sortir ». Lorédan Larchey - L’Esprit de tout le monde.
La philosophie sous cet angle là est accessible à tous.
Saviez vous que le discours de Dakar avait été pompé sur Hegel ?
Une autre citation mais pour une toute autre raison :
Pour vivre centenaire, il faudrait abandonner toutes les choses qui donnent envie de vivre centenaire. Woody Allen.
Il a raison, mon petit flan au caramel avec des pommes fondues à l’intérieur était délicieux, la salade avec des gésiers confits aussi, là ce n’est pas dans l’ordre j’ai mangé la salade en premier. Demain j’ai des invités, je vais donc m’attaquer à la confection d’un couscous, puisqu’ils veulent manger ça. Elle n’est pas belle la vie ? Mon analyse de sang n’est pas encore faite, je repousse, je repousse. Tiens, en parlant d’analyse de sang, cela me fait penser à mon médecin, entendu dans la salle d’attente « Bonjour docteur, ça va, pas plus malade qu’hier », mais je suis certaine qu’avec mon étourderie habituelle, j’ai pu lui dire « Bonjour docteur, ça va ? » Il est gentil mon médecin, si je ne veux pas me peser il n’insiste pas, il me regarde et me dit « Non, ça va, rien n’a changé ». Ben, moi je ne suis pas prête de changer de médecin !!!
Cathy m’a raconté l’autre soir une histoire marrante arrivée à sa tante qui venait au club, mais que l’on ne voit plus et c’est dommage, donc tata très étourdie trouve qu’elle a de plus en plus de trous de mémoire et elle décide d’aller chez le médecin, elle rentre dans son cabinet, enlève son manteau, le docteur lui demande de s’asseoir et qu’est ce qui ne va pas, « ma mémoire docteur » Puis, pas gênée du tout elle s’assoit à la place du médecin de l’autre côté du bureau « En effet, madame M. il y a du boulot ». Nous avons bien ri, j’aimais bien tata qui souriait toujours, et qui piquait des crises de fou-rire avec moi.


Personnellement, nous demandons la liberté de jouir des droits fondamentaux de l’homme, la liberté de parole, la liberté d’exister aussi, mais en ce qui concerne les autres, nous sommes prêts à accepter quoi ? Ce voile me gêne aussi, beaucoup moins que la burqa, le visage est visible, mais en même temps cette femme désire représenter notre république puisqu’elle veut être élue, alors ne doit-elle pas se plier aux coutumes d’un pays laïc ? J’aime la mixité des races à la télé, dans les partis politiques, dans la vie d’une commune, cela ne peut être qu’enrichissant, à condition que chacun respecte les droits de l’autre.




J’ai découvert une femme peintre, Cécile Veilhan, j’aime beaucoup ce style de peinture, on peut tomber sous le charme. Elle expose à Pont-Aven, aux beaux jours nous irons faire un tour, en même temps nous rendrons visite aux Laroche qui exposent aussi là-bas. Mais il est probable que nous ne ferons que regarder, je ne connais pas le prix des tableaux de Cécile Veilhan.



Il fait toujours aussi mauvais, aussi gris, il y a longtemps que nous n’avions pas eu un hiver pareil, dans une semaine nous partirons pour voir le soleil j’espère.
Nous avons changé la photo, je suis entrain de lire "Les chaussures italiennes", de suite happée par l'histoire, c'est bon signe. Bye, MClaire.